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L'aquaculture et la plongée Une législation en vigueur depuis quatre ans, réglemente la plongée sur les sites aquacoles (le fameux décret de mars 92). Elle oblige notamment les scaphandriers à être titulaires d'un certificat spécial. Beaucoup d'aquaculteurs ont pris cette décision comme une sanction. Pourtant, certains d'entre eux continuent à prendre le risque de se contenter du "brevet élémentaire" et l'on déplore malheureusement toujours des drames, parfois même des plus graves. Toutes les professions de la filière aquacole ont une approche différente de l’élément “liquide”. L’industrialisation des techniques de production, les programmes de recherche ou le contrôle de ces productions nécessitent aujourdhui un soutien technique adapté à toutes ces situations. La plongée professionnelle en aquaculture est une spécialité qui allie la maîtrise du travail en scaphandre à des connaissances et de l’expérience en aquaculture.
Le secteur primaire de l’aquaculture, aujourdhui en pleine mutation, se tourne vers des sites plus performants, plus profonds, avec des infrastructures complexes et soumises à rudes épreuves. L’intervention de plongeurs dans l’installation ou la maintenance des structures deviennent quasi obligatoires et sécurisantes pour le producteur. L’enceinte ou le support d’élevage ne peuvent être laissés au second plan au regard des valeurs de cheptel y attenant. L'importance d’une connaissance biologique des espèces ainsi que l’expérience aquacole permet de travailler différemment, avec les outils adaptés, en respectant le cheptel (en évitant le stress et les blessures, en désinfectant le matériel d’un site à l’autre,...). Seule une démarche en harmonie avec la profession sera un vecteur de développement.
Les missions de service public ou les bureaux d’études privés rencontrent sur le terrain des points de blocage dans leurs investigations sur les sites. Le plongeur aquacole peut leur offrir une “passerelle” entre le milieu et leurs programmes de développement. Comment ? - Par des de travaux subaquatiques, - par des prélèvements, des rapports d’observation, suivis de cheptel en eau profonde. - par la mise en place de sites particulièrement adaptés à leurs situations et à l’espèce envisagée. SÉCURITÉ Les scaphandriers aquaculteurs apportent une garantie professionnelle en matière de sécurité. Ils ont la formation nécessaire pour la réalisation de travaux en plongée dans des conditions très diverses. Leur expérience permet d’ appréhender des situations parfois difficiles. D’autre part, la mise en oeuvre des dispositions applicables dans les entreprises et définissant les procédures en milieu hyperbare (arrêté du 15 Mai 92) est lourde techniquement et financièrement, car elle impose des règles de sécurité et un nombre de personnels qualifiés assez important pour l’exécution des travaux sous-marins. QUE CHOISIR ? La réponse à toutes ces contraintes est de choisir entre : - la formation de son propre personnel (formation un peu longue pour une entreprise, et assez onéreuse) - ou bien, de faire appel à des professionnels qui apportent des solutions à chacune de leur demande sans les contraintes financières liées à la formation des salariés. C’est aussi bénéficier d’une expérience et d’un regard extérieur sur ses propres activités. MATERIEL L’équipement et l’entretien du matériel de plongée professionnelle est une charge importante. La réépreuve des bouteilles, l’entretien des détendeurs, l’usure des vêtements de plongée, sont des postes non négligeables dans le budget d’une entreprise.
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